Budget 2026 : François Bayrou propose de supprimer le 8 mai et le lund - Page 2

Bonjour ici,

une tio'te question, quel est le rapport entre augmenter le temps de travail et la fin des deux jours fériés ?

Qui travail pas ces deux jours fériés ? en dehors des grosses boites privés et de la fonction publique ?
Qui paie pour les employés du publique ?

Si je travail 9 jours fériés sur 10 en 35h c'est bien que je ne coûte rien et que mes 35h suffisent !

Darmanin corrèle jours fériés enlevé avec le fait de travailler 14h de + ... pour la fonction publique... mais pour moi ça ne change rien !
(sauf celui de travailler + et donc coûter plus cher à mon employeur, le retour sur investissement pour mon patron il est pas rentable en coût financier et en temps)

Quel chantier à venir....

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Bonjour,

Il faut que nous arrêtions de nous chercher de fausses excuses (c'est de la faute de l'Europe ... de la guerre en Ukraine ... du covid ... des pays aux salariés sous-payés ... du réchauffement climatique)

Deux axes de SURVIE s'offrent à nous :

LES ECONOMIES à tous les niveaux :
- celui de l'Etat bien sûr, avec notamment une lutte impitoyable et généralisée contre la fraude fiscale et sociale et une maîtrise absolue des dépenses de SANTé,
- celui des Entreprises qui savent très bien dépenser beaucoup de pognon pour pas grand chose,
- celui des Particuliers qui somnolent déjà sur un épais matelas d'épargne.

LE TRAVAIL AUGMENTé :
- Retraite à 65 ans (car on n'en est plus au : "A cet âge-là ils seront tous morts !")
- 40 heures de travail hebdomadaires pour faire un chiffre rond,
- 5 semaines (strictes) de congés payés par an pour les salariés (du privé et de la fonction publique) et 10 semaines (strictes) de vacances par an pour les professeurs et leurs élèves,
- Encadrement sévère des arrêts-maladie.

(nous travaillons environ 220 à 230 jours par an, les 2 jours fériés supprimés ne représenteraient donc qu'une augmentation de moins de un pourcent du nombre de jours travaillés chaque année ... ce ne serait donc qu'un tout petit pas en avant !)

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bonjour

c'est la conséquence de l'Europe (vote en 1992).

On doit payer aussi en 2026 7 milliards pour l'Europe.

Sans compter les Députés européens qui commandent les lois nationales.

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Deux jours fériés travaillés mais non payés. On nous saigne pour l'Ukraine, ça va finir en guerre civile en France.

Arrêtons de soigner, logées, payées tous ces migrants étrangers qui ruinent notre système.

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@ BerMer,

Nos OQTF qui nous coûtent cher et que leurs propres pays ne veulent pas reprendre, je connais le moyen de les faire partir de leur plein gré et:

1) ce n'est pas compliqué.

2) ça ne coûte rien ou presque.

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@jipes

Je suis d'accord avec toi sur l'imbécilité du front républicain.

D'une part, c'est prendre les électeurs du RN pour des pestiférés.

D'autre part, dans ce front républicain, il y avait LFI.

Les bien pensants qualifient le RN de "pas fréquentable" mais LFI a montré son visage antisémite et pro islamiste.

Quand on a un peu de dignité, on ne s'allie pas avec le choléra pour combattre la peste.

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Salut à tous .

Et oui pour l'amiral Macron il faut réarmer la France :

il faut m'expliquer car depuis que cette guerre déclaré en Ukraine par un bien triste sire :

Après X débat entre général / colonel /amiral et j'en passe et des meilleurs Ex du KGB .

le résultat de toutes ses palabres .

S'est que la guerre conventionnelle n'existe plus .

maintenant s'est une guerre de d'abord de drones et de missiles et même très peu d'avions sauf au début.

Alors à quoi cela servirait de refaire des chars et autres .

Macron a peur de la Russie :

A quoi sert la dissuasion Nucléaire alors .

Par le passé les guerres ont coutées la vie à tellement de gens ( pour rien)

Quand à l'argent ....une honte et apparemment certains dirigeant sont toujours aussi NUL et très bête .

Mr Macron devrait déjà résoudre le problème de guerre entre sa femme et lui .

Pour le reste avec son nouveau premier SINISTRE fantoche ONT A PAS FINI dans baver .

@ plus

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Alioche, la seule absurdité est d'avoir, l'an passé, fait appel par une classe politique désemparée au "Front Républicain" ! Si l'on avait laissé le paysage politique se décanter comme cela se devait, on n'en serait pas à la situation actuelle.

On aurait aussi un Gouvernement plus fort qui surtout ne laisserait pas guider sa loi par un Président "touche à tout" !

A présent, pourquoi réarmer ? Voilà le sujet d'un référendum ! Mais le pensionnaire de l'Elysée aurait-il peur de se casser les dents ?

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Bonjour,

Douce France !
Notre pays est l'un de ceux où l'on vit le mieux dans le monde, les immigrés clandestins de tous poils le savent très bien.
France endormie, incapable pour l'instant de sacrifier quelques pourcents de ce bonheur pour reprendre sa marche en avant !

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Que Macron soit en partie responsable dans la merde dans laquelle nous sommes déjà (mais malheureusement peu s'en sont déjà rendu compte) est une réalité.

Mais il ne faut pas oublier toute l'assemblée nationale dont le seul objectif actuellement est d'envenimer la situation à des fins exclusivement personnelles.

Il n'y a qu'à écouter les absurdités, les revirements de l'extrème gauche à l'extrème droite en passant par les socialistes et les centres.

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Avant d'évoquer "les beaux parleurs", il faut voir qui a précipité la France dans la merde....

A ma connaissance le principal a pour prénom Emmanuel avec son acolyte No-No le sauveur de la France.

A eux deux ils ont fait plus que tous les autres réunis.

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Ce qui me console en entendant tous les faux arguments des opposants, c'est que ce sont eux qui devront répondre aux problèmes quand les intérêts de la dette auront doublé, quand les investisseurs ne voudront plus de la dette française et que le FMI sera à notre porte avec des mesures autrement plus contraignantes et restrictives.

Nous verrons comment les beau parleurs d'aujourd'hui s'en sortiront demain.

Les moins de 50 ans ne peuvent pas se souvenir de la fuite massive de capitaux en 1981 avec l'arrivée au pouvoir de Mitterrand, des communistes et leur impôts.

Résultat ! moins d'impôts perçus en 1982 et Mitterrand vire les communistes du gouvernement en 1983. Il avait enfin compris.

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Ce budget catastrophique n'empêchera pas le FMI de pointer le bout de son nez. les agences de notation sont contre un budget restrictif annonciateur de récession. L'appauvrissement généralisé ne peut qu'engendrer une récession suivi d'un nouvel ajustement budgétaire. La vérité ? il n'a pas voulu toucher aux comités théodule qui gangrène les finances publiques depuis des décennies, il faut bien nourrir les copains...

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la suppression des 2 jours fériés c'est pour financer l'augmentation du budget de la défense .... Quelle honte !!!

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ah les fumiers

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François Bayrou engage la France sur un virage budgétaire majeur : hausse d’impôts pour les plus riches, gel des prestations, et suppression du 8 mai et du lundi de Pâques. Objectif : 43,8 milliards d’économies.

C’est un pari à double tranchant. Ce mardi 15 juillet à Matignon, François Bayrou a présenté les grandes lignes du budget 2026, dans une conférence de presse où chaque mot pèse politiquement. Face à une dette publique record et une exigence de réduction du déficit à 4,6 % du PIB l’an prochain, le Premier ministre a révélé une série de mesures drastiques : gel des barèmes, efforts demandés aux retraités aisés, mais surtout, la suppression de deux jours fériés le 8 mai et le lundi de Pâques.

Pourquoi deux jours fériés vont disparaître

« Toute la nation doit produire et travailler plus », a justifié François Bayrou en évoquant la suppression du 8 mai et du lundi de Pâques. Ces deux jours seront désormais travaillés, sans majoration salariale ni récupération, ce qui devrait rapporter plusieurs milliards d’euros à l’État. Le dispositif s’inspire de la journée de solidarité instaurée en 2004 sur le lundi de Pentecôte, qui génère chaque année environ 3,5 milliards d’euros.

Selon les projections gouvernementales, chaque jour férié travaillé pourrait rapporter entre 2 et 4 milliards d’euros, une contribution décisive dans le plan de redressement des finances publiques. Bayrou a toutefois laissé la porte ouverte à d'autres options, soulignant que cette décision pourrait évoluer selon les discussions à venir avec les partenaires sociaux.

Budget 2026 : une équation à 43,8 milliards d’économies

Le gouvernement vise 43,8 milliards d’euros d’économies, un objectif encore plus ambitieux que les 40 milliards initialement évoqués. La raison ? Une enveloppe de 3,5 milliards d’euros supplémentaire allouée à la Défense en 2026, comme l’a confirmé Emmanuel Macron le 13 juillet. D’autres hausses suivront : +3 milliards en 2027.

Voici les principales mesures annoncées :

• Suppression du 8 mai et du lundi de Pâques comme jours fériés

• Gel complet des prestations sociales, pensions et barèmes fiscaux (année blanche) : économie estimée à 7 milliards

• Réduction de 3 000 postes dans la fonction publique

• Contribution exceptionnelle des retraités aux revenus élevés

• Hausse des impôts pour les foyers les plus riches

• Création d’une nouvelle “contribution de solidarité”

• Renforcement des contrôles d’arrêts maladie, jugés non justifiés dans 50 % des cas

• Lutte accrue contre la fraude sociale et fiscale

Ce plan repose aussi sur un gel quasi total des dépenses publiques, à l’exception des budgets de la dette et des armées.

Bayrou fragilisé, l’automne sous tension

Cette annonce pourrait coûter cher politiquement au Premier ministre. Dans son entourage, certains redoutent une « mise à mort politique » dès l’automne, si les mesures venaient à cristalliser trop d’oppositions. L’accueil des syndicats s’annonce glacial, et les critiques montent déjà du côté de l’opposition.

Jean‑Philippe Tanguy (RN) parle de « toujours les mêmes erreurs », tandis qu’Éric Coquerel (LFI) accuse Bayrou de « cibler les classes populaires au profit des plus riches ». Les concertations avec les partenaires sociaux s’annoncent décisives, notamment sur la nouvelle journée de solidarité et les réformes fiscales.

Bayrou recevra les présidents de groupes parlementaires dès ce soir. Un projet de loi pourrait être présenté à l’automne. La suite du calendrier budgétaire sera cruciale, tout comme le soutien de l’Élysée.

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